Arte radio, 2023
Les histoires de quartier d’Oxmo Puccino.
Lense, 2022
Faux bourgs, Marseille dans l’oeil de Yohanne Lamoulère.
Libération, 2022
On the Rhône again.
L’intervalle, 2021
Une beauté revancharde, Marseille, par Yohanne Lamoulère.
Arte, 2020
”Portrait d’une ville confinée.
Polka, 2020
Documentaires et poétiques, les images de Yohanne Lamoulère racontent une ville en morceaux et la beauté de ses habitants les plus fragiles.
Pour Polka#49, elle a cheminé des quartiers nord au sud de la cité.
Konbini, 2019
Avec sa série Gyptis & Protis, elle interroge la place des relations amoureuses dans l’espace urbain.
Une série de photographies qui nous fait regarder ces quartiers à travers le prisme tendre et fragile de l’amour de jeunesse, occultant la violence pour laquelle sont réputées ces zones.
I.D Vice, 2019
À travers la série Gyptis et Protis, la photographe Yohanne Lamoulère vient poser un autre regard sur la jeunesse marseillaise.
Soleil rouge, 2019
Croire en l’amour et quitter sa terre.
France TV, Des mots de minuit, 2019
Yohanne Lamoulère publie sa première monographie, un livre qui se dévore comme un conte, prenant d’abord racine sur les bords de la Méditerranée pour peu à peu nous plonger dans l’intimité des quartiers nord, et finalement en sortir, pour retrouver la mer. Pour Des mots de minuit, elle revient sur une des images de ce livre.
Libération, 2019
Yohanne Lamoulère et Jean-Bernard Marlin, dialogue entre la photographe et le cinéaste dont les vies et les œuvres ancrées dans les quartiers nord de Marseille affichent de puissantes résonances.
Tous deux dépeignent une relation charnelle à la cité et aux corps qui l’habitent, comme un remède aux codes usés de la fiction misérabiliste.
Néon Mag, 2019
France Culture, 2018
Yohanne Lamoulère invité de Marie Richeux pour l’émission Par les temps qui courent.
Nous recevons la photographe à l’occasion de la parution de sa première monographie _Faux bourgs aux éditions Le bec en l’air.
Elle nous parle de Marseille, de son travail photographique frontal qui oscille entre le calme et la colère et donne une autre image de la ville.
France Culture, 2018
Marseille en trois photos.
L’intervalle, 2018
_Marseille, la mélancolie et alors ?
France Culture, 2017.
Il est 23h et il faut arrêter les gens. On ne dit pas assez : tu es beau à regarder. On ne fait pas honneur aux visages. On court, on ne s’arrête jamais. L’amour ça vient en disant : attends, arrête, ne bouge pas. Ne bouge plus. Il faudrait arrêter les gens dans la rue. On peut passer une vie sans dire à personne de ne plus bouger et alors, on passe à côté. Yohanne Lamoulère fait découvrir l’amour à ceux qu’elle photographie. Elle dit : ne bouge pas. Alors le jeune Heddy dans le Nord de Marseille domine les éléments, les bâtiments, le temps. Yohanne Lamoulère met les corps les gens et les bâtiments au-dessus du temps. C’est comme si chacun pouvait voir sa vie : de cet endroit-là, en suspens, il y a tous les lieux et tous les âges. Il y a ce qu’on aurait pu devenir. Il y a la ville qui peut disparaître. Il y a du possible. Ce n’est pas de l’immersion, Yohanne Lamoulère n’est pas en “immersion”, elle est dans la vie tout court. A ceux à qui on a confisqué la réalité, à ceux à qui on raconte à longueur de journée qui ils sont, où ils vivent, ce qu’ils doivent faire, elle redonne le regard. Elle dit : arrête, je te regarde…
Les histoires de quartier d’Oxmo Puccino.
Lense, 2022
Faux bourgs, Marseille dans l’oeil de Yohanne Lamoulère.
Libération, 2022
On the Rhône again.
L’intervalle, 2021
Une beauté revancharde, Marseille, par Yohanne Lamoulère.
Arte, 2020
”Portrait d’une ville confinée.
Polka, 2020
Documentaires et poétiques, les images de Yohanne Lamoulère racontent une ville en morceaux et la beauté de ses habitants les plus fragiles.
Pour Polka#49, elle a cheminé des quartiers nord au sud de la cité.
Konbini, 2019
Avec sa série Gyptis & Protis, elle interroge la place des relations amoureuses dans l’espace urbain.
Une série de photographies qui nous fait regarder ces quartiers à travers le prisme tendre et fragile de l’amour de jeunesse, occultant la violence pour laquelle sont réputées ces zones.
I.D Vice, 2019
À travers la série Gyptis et Protis, la photographe Yohanne Lamoulère vient poser un autre regard sur la jeunesse marseillaise.
Soleil rouge, 2019
Croire en l’amour et quitter sa terre.
France TV, Des mots de minuit, 2019
Yohanne Lamoulère publie sa première monographie, un livre qui se dévore comme un conte, prenant d’abord racine sur les bords de la Méditerranée pour peu à peu nous plonger dans l’intimité des quartiers nord, et finalement en sortir, pour retrouver la mer. Pour Des mots de minuit, elle revient sur une des images de ce livre.
Libération, 2019
Yohanne Lamoulère et Jean-Bernard Marlin, dialogue entre la photographe et le cinéaste dont les vies et les œuvres ancrées dans les quartiers nord de Marseille affichent de puissantes résonances.
Tous deux dépeignent une relation charnelle à la cité et aux corps qui l’habitent, comme un remède aux codes usés de la fiction misérabiliste.
Néon Mag, 2019
France Culture, 2018
Yohanne Lamoulère invité de Marie Richeux pour l’émission Par les temps qui courent.
Nous recevons la photographe à l’occasion de la parution de sa première monographie _Faux bourgs aux éditions Le bec en l’air.
Elle nous parle de Marseille, de son travail photographique frontal qui oscille entre le calme et la colère et donne une autre image de la ville.
France Culture, 2018
Marseille en trois photos.
L’intervalle, 2018
_Marseille, la mélancolie et alors ?
France Culture, 2017.
Il est 23h et il faut arrêter les gens. On ne dit pas assez : tu es beau à regarder. On ne fait pas honneur aux visages. On court, on ne s’arrête jamais. L’amour ça vient en disant : attends, arrête, ne bouge pas. Ne bouge plus. Il faudrait arrêter les gens dans la rue. On peut passer une vie sans dire à personne de ne plus bouger et alors, on passe à côté. Yohanne Lamoulère fait découvrir l’amour à ceux qu’elle photographie. Elle dit : ne bouge pas. Alors le jeune Heddy dans le Nord de Marseille domine les éléments, les bâtiments, le temps. Yohanne Lamoulère met les corps les gens et les bâtiments au-dessus du temps. C’est comme si chacun pouvait voir sa vie : de cet endroit-là, en suspens, il y a tous les lieux et tous les âges. Il y a ce qu’on aurait pu devenir. Il y a la ville qui peut disparaître. Il y a du possible. Ce n’est pas de l’immersion, Yohanne Lamoulère n’est pas en “immersion”, elle est dans la vie tout court. A ceux à qui on a confisqué la réalité, à ceux à qui on raconte à longueur de journée qui ils sont, où ils vivent, ce qu’ils doivent faire, elle redonne le regard. Elle dit : arrête, je te regarde…